CIELT - Centre international d'études sur le linceul de Turin
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L’hypothèse du faussaire

Les adversaires de l’authenticité du Saint Suaire s’efforcent avec persévérance d’imposer l’idée du travail d’un faussaire et, le plus souvent, d’un faussaire du XIVe siècle afin de faire cadrer leur affirmation avec la datation au carbone 14 qui, elle, se doit d’appuyer le mémoire de Pierre d’Arcis.

  • Mais le faussaire invoqué doit avoir des connaissances anachroniques et l’idée saugrenue de ne pas respecter les vraisemblances admises de son temps.
  • Il lui a fallu se procurer un tissu antique du Proche-Orient, le parsemer de poussières et de pollens invisibles sans le microscope inventé au XVIIe siècle.
  • Il lui a fallu aussi exécuter son dessin en négatif, cinq siècles avant l’invention de la photographie.
  • Pour cela il a utilisé un rayonnement d’un type encore inconnu en notre fin du XXe siècle.
  • Son dessin représente, de manière anatomiquement exacte, un homme aux caractéristiques particulières sans rapport avec les références artistiques du Moyen Âge.
  • Avec du sang authentique, il a reproduit toutes les étapes de la Passion et de la mort sur la croix, en tenant compte des découvertes archéologiques et médicales de la fin du XXe siècle !